Le président, gense d'un renouveau national

N´étant pas habitué d s´occuper de taches périphériques, il ne se détournera jamais de sa mission. Il s´investira plutôt dans ce qui se trouve être l´attente du peuple, mettre fin à l´effritement social et à la dégradation qui s´en est décousue, entretenus par ceux qui souffrent orgueilleusement de ce qu´ils incarnent de banal, de dérivé, d´adultérant, par ceux qui ne peuvent s´empêcher de voir s´organiser la paix civile et la stabilité politique autrement qu´autour de leurs ambitions désarticulées pour les uns et de leurs fantasmes en mal de... pour les autres, par ceux qui, cédant à l´avantage et aux ravages du vertige instinctuel, ont fait de la tragédie Algérienne un fonds de commerce, par ceux qui, usant du discours déformant de l´équilibre démocratique, font dans la subversion au détriment de l´intérêt supérieur de l´État.Les uns baignant dans une schizophrénie collective, les autres étouffant dans une sorte de narcose, il leur est insupportable que l´essentiel du débat national se concentre autour de celui qui à appris au peuple à se recevoir sur lui-même et à amorcer dans ce geste un bond hardi qui exalte la volonté d´être et l´aspiration à « plus-être » . . .