La part de l'étranger

Après avoir dégagé une philosophie et une poétique d´ensemble de l´acte traduisant, notamment en poésie, l´auteur passe en revue les principales phases du mouvement de la traduction dans la culture arabe classique et s´interroge sur les raisons de l´évitement des œuvres poétiques. Traitant ensuite de la traduction littéraire à l´âge moderne, il s´arrête longuement devant près de douze réalisations, choisies en raison de l´importance des œuvres traduites, ou de leurs traducteurs, ou encore de l´impact qu´elles ont pu avoir. Des problèmes fondamentaux apparaissent au fur et à mesure de leur lecture comparative et sont minutieusement discutés. Comme les Hollandais gagnent sur la mer chaque jour un peu plus de terre ferme, les traducteurs élargissent continuellement, selon l´auteur, les régions du penser et du dire. Non seulement en traduisant mais aussi en se livrant à une réflexion soutenue sur les difficultés inhérentes à leur travail, dues tantôt aux limites, toujours déplaçables, de la langue, tantôt aux insuffisances des poétiques mises en œuvre dans la traduction. Né au Sud de l´Irak en 1955, Kadhim Jihad Hassan est poète, traducteur, critique littéraire et maître de conférences au département d´études arabes à l´Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO) à Paris. Il à publié plusieurs essais et recueils de poèmes, en arabe et en français, notamment : Chants de la folie de l´Erre et autres poèmes (Tarabuste 2001) et Le Roman arabe (1834-2004) : bilan critique (Sindbad/Actes Sud, 2006). Il à traduit et présenté Le Livre des prodiges, anthologie des Karâmât des saints de l´islam (Sindbad/Actes Sud, 2003). Parmi ses traductions en arabe figurent la Divine Comédie de Dante, Un captif amoureux de Jean Genet, les œuvres complètes d´Arthur Rimbaud, et des écrits philosophiques de Gilles Deleuze et de Jacques Derrida.
Après avoir dégagé une philosophie et une poétique d´ensemble de l´acte traduisant, notamment en poésie, l´auteur passe en revue les principales phases du mouvement de la traduction dans la culture arabe classique et s´interroge sur les raisons de l´évitement des œuvres poétiques. Traitant ensuite de la traduction littéraire à l´âge moderne, il s´arrête longuement devant près de douze réalisations, choisies en raison de l´importance des œuvres traduites, ou de leurs traducteurs, ou encore de l´impact qu´elles ont pu avoir. Des problèmes fondamentaux apparaissent au fur et à mesure de leur lecture comparative et sont minutieusement discutés. Comme les Hollandais gagnent sur la mer chaque jour un peu plus de terre ferme, les traducteurs élargissent continuellement, selon l´auteur, les régions du penser et du dire. Non seulement en traduisant mais aussi en se livrant à une réflexion soutenue sur les difficultés inhérentes à leur travail, dues tantôt aux limites, toujours déplaçables, de la langue, tantôt aux insuffisances des poétiques mises en œuvre dans la traduction. Né au Sud de l´Irak en 1955, Kadhim Jihad Hassan est poète, traducteur, critique littéraire et maître de conférences au département d´études arabes à l´Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO) à Paris. Il à publié plusieurs essais et recueils de poèmes, en arabe et en français, notamment : Chants de la folie de l´Erre et autres poèmes (Tarabuste 2001) et Le Roman arabe (1834-2004) : bilan critique (Sindbad/Actes Sud, 2006). Il à traduit et présenté Le Livre des prodiges, anthologie des Karâmât des saints de l´islam (Sindbad/Actes Sud, 2003). Parmi ses traductions en arabe figurent la Divine Comédie de Dante, Un captif amoureux de Jean Genet, les œuvres complètes d´Arthur Rimbaud, et des écrits philosophiques de Gilles Deleuze et de Jacques Derrida.
Caractéristiques
Nb Page 0
Dimensions 13,8 cm x 22,5 cm x cm
Couverture Broché
Date de Parution 31 mai 2007
Collection Sindbad
Editeur Actes Sud Editions
Poids 0.42
EAN13 9782742767441
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