"PENSER C´EST SERVIR Lire aujourd´hui José Marti, c´est se prémunir contre le ""concert des pleureuses"" d´une non-violence douceatre et hypocrite qui désarme les nations opprimées pour mieux permettre le déferlement de brutalités des tenants de la ""démocratie de marché"" et de ""la fin de l´histoire"". Il y à plus d´un siècle, José Marti disait dans une aveuglante clarté la vérité ultime du ""Nord convulsif et brutal"" et son antihumanisme fondamental : ""Les hommes n´apprennent point ici à s´aimer et ils n´aiment pas davantage le sol, où ils naissent par hasard, et sur lequel ils luttent à perdre haleine dans une mêlée toute animale et sillonnée d´épreuves, et dont le but est la survie."""
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