Le vent du sud

Voici enfin livré au public le premier roman dont je dirai qu´il est Algérien à 100% si l´algérianité pouvait se fractionner et s´exprimer en pourcentages. «Le vent du Sud», écrit en arabe s´il vous plaît, est l´œuvre la plus authentique de toutes celles parues à ce jour dans tous les genres littéraires. II y à là une douzaine de destins intimement mêlés et qui forment la vie même de l´Algérie réelle dans toute sa diversité, dans toute sa complexité. Un village pareil à des centaines d´autres: une jeune fille étudiante ayant des milliers de sœurs en faculté ou au collège, une mère comme nous en connaissons tous beaucoup, un berger extraordinaire et pourtant profondément humain, une remarquable vieille femme artiste en poterie et d´autres personnages parfaitement décrits et analysés constituent les personnages essentiels de cette vaste fresque. Abdelhamid Benheddouga ne s´est pas contenté de peindre et d´analyser: il à restitué le maximum de vie et de réalité possibles au long de 250 pages bien denses et pleines de talent. Ce livre est, il faut le dire encore, un roman , ce n´est ni un inventaire ethnographique, ni une chronique de guerre ni un plaidoyer pour la femme ou la réforme agraire, ni un exposé dogmatique, larmoyant ou vindicatif de la situation d´une catégorie sociale. Ce n´est ni un roman rose, ni un roman noir. II n´est pas à ranger dans la bibliothèque verte, pas plus que dans le rayon des livres d´aventures ou de reportage. Ce n´est pas un roman historique où l´Histoire est toujours massacrée et où la littérature ne gagne presque jamais un chef d´œuvre.
Voici enfin livré au public le premier roman dont je dirai qu´il est Algérien à 100% si l´algérianité pouvait se fractionner et s´exprimer en pourcentages. «Le vent du Sud», écrit en arabe s´il vous plaît, est l´œuvre la plus authentique de toutes celles parues à ce jour dans tous les genres littéraires. II y à là une douzaine de destins intimement mêlés et qui forment la vie même de l´Algérie réelle dans toute sa diversité, dans toute sa complexité. Un village pareil à des centaines d´autres: une jeune fille étudiante ayant des milliers de sœurs en faculté ou au collège, une mère comme nous en connaissons tous beaucoup, un berger extraordinaire et pourtant profondément humain, une remarquable vieille femme artiste en poterie et d´autres personnages parfaitement décrits et analysés constituent les personnages essentiels de cette vaste fresque. Abdelhamid Benheddouga ne s´est pas contenté de peindre et d´analyser: il à restitué le maximum de vie et de réalité possibles au long de 250 pages bien denses et pleines de talent. Ce livre est, il faut le dire encore, un roman , ce n´est ni un inventaire ethnographique, ni une chronique de guerre ni un plaidoyer pour la femme ou la réforme agraire, ni un exposé dogmatique, larmoyant ou vindicatif de la situation d´une catégorie sociale. Ce n´est ni un roman rose, ni un roman noir. II n´est pas à ranger dans la bibliothèque verte, pas plus que dans le rayon des livres d´aventures ou de reportage. Ce n´est pas un roman historique où l´Histoire est toujours massacrée et où la littérature ne gagne presque jamais un chef d´œuvre.
Caractéristiques
Nb Page 199
Dimensions 0 cm x 0 cm x 0 cm
Couverture Broché
Date de Parution 1 janv. 2002
Editeur ENAG Editions
Poids 0.32
EAN13 9789961623169
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