Cette chronique de l´élection présidentielle 2004 que j´ai tenue au jour le jour depuis la déclaration du 10 mars du général-major Mohamed Lamari sur la neutralité de l´ANP, je l´ai voulue la plus objective possible. Le lecteur jugera si j´ai relevé ce pari ou pas. Sans même attendre son verdict, je peux lui avouer que cette campagne fut tellement haute en couleurs que j´ai cédé à plusieurs reprises au délicieux plaisir de croquer quelques portraits. Et quel plaisir ne se paye pas par quelque ivresse? Mon ivresse fut celle du témoin qui raconte avec jubilation ce qu´il à vu, entendu, lu.
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