Culture Libanaise et francophonie

Je voudrais commencer par remercier le Secrétaire de la Francophonie, Monsieur Boutros Ghali, qui nous à annoncé le grand événement culturel du mois d´octobre 2001, qui se tiendra à Beyrouth. Il n´a pas manqué, dans une interview accordée le 18 novembre 2000, d´affirmer son optimisme, non seulement pour le succès du congrès d´octobre, mais surtout pour l´avenir culturel de notre pays et le rôle certain et spécifique qu´il est appelé à jouer. Devant ce témoignage très précieux de MT Ghali, j´ai été comme poussé à présenter les réflexions suivantes, espérant en tant que simple citoyen, qu´elles aboutiront à quelque chose qui nous permettra d´affronter les conséquences des moments difficiles que le Liban connaît, et exprimera à nos visiteurs notre profonde gratitude. Nous avons déjà vécu un grand événement historique avec la visite du Pape Jean-Paul II, qui à comparé le destin du Liban à celui de son pays. Il nous à dit, en effet, que la Pologne, malgré toutes les vicissitudes, à gardé, grace à sa culture, son unité et son histoire. L´événement culturel de la francophonie, tel qu´il est préparé et tel qu´on le promet pour l´avenir, est appelé à jouer un très grand rôle, non seulement face à un certain «affaissement» qui dure depuis la guerre, mais, pour moi…