Les chemins qui montent

Ce roman était rédigé pendant les années noires de l´Algérie, où les années cinquante ont été une période historique témoin de la naissance du roman de l´Algérie de l´expression française. La première publication de cet œuvre était en 1957 en France de l´édition de Seuil une maison d´édition française créée en 1935.Mouloud Ait-Chaabane connu par Mouloud Feraoun, le nom donné par l´état civil français, à traité plusieurs sujets important dans ses œuvres il présente la littérature Algérienne et la culture kabyle dans le monde. Dans ce roman qui est la deuxième partie de « la terre et le sang », il raconte l´histoire d´amour d´Amer et Dahbia, une histoire triste et tragique qui commence par la fin , la mort d´Amer. L´auteur nous montre que l´amour ne peut s´épanouir que dans des conditions de liberté, pas dans une société de pauvreté et de colonisation. Par ce titre, l´auteur essaye de nous emmener vers un monde imaginaire, nous replonge dans une image sur le destin de l´héros, car on voit clairement qu´il s´agit d´une vie plein d´aventures quand on imagine la scène «les chemins qui montent». Ce titre vient d´un dicton kabyle mentionné avant le commencement de l´histoire, c´est-à-dire que la fonction est référentielle, parce que le titre à des références vers la Kabylie natale. Le dicton est écrit en français et aussi le dialecte kabyle. (Voir les annexes) Dans le troisième de couverture on trouve une liste de livres de la même collection. En fin dans le quatrième de couverture , une petite présentation de ce roman, aussi une image de Mouloud Feraoun entrain d´écrire avec son Burnous qui représente son identité, avec un passage sur l´écrivain et des jugements de quelques d´autres auteurs et deux journalistes, toute en bas en trouve la maison d´édition et la date de la publication de l´œuvre.Ce roman contient 222 pages, deux parties, chaque partie présente un personnage, ses idées, son passé, et ses journées. La première partie contient neuf chapitres sous une forme de narration, et dans la deuxième partie sous une forme de journal on trouve douze chapitres , chaque chapitre présente une journée du héros « Amer ».En commençant l´histoire par un incipit à dévoilement , le découvert progressive des évènements qui nous introduit graduellement dans l´action. L´auteur commence par la fin du récit, il parle de la situation de Dahbia après la mort de l´héros Amer, elle fait comme il faisait auparavant quand il prend son journal. Au début on ne peut pas comprendre de quoi il s´agit, mais on voit clairement l´atmosphère triste, de la pauvreté, et la solitude de Dahbia. Dans de passage l´auteur mentionne les deux noms de ses deux personnages principaux, pour attirer l´attention du lecteur à l´importance de ces deux personnages. L´écrivain à met une fin à ses évènements par un article de presse qui déclare la mort de Amer, cet article est écrit par le frère de Mokrane n´Ait-Slimane (l´ennemi de Amer) dans les journaux du lendemain de l´accident , 2 février 195*.