Eurorient n°6: les Balkans au delà des versions établies

Présenter un dossier sur les Balkans, c´est évoquer la fragilité historique de cette zone européenne qui à vécu plus d´une stratégie, impliquant même le vieux continent. La création d´un ensemble d´Etats-nations, n´a, semble-t-il, pas réglé les problèmes de la partition sur l´échiquier religieux et ethnique. En effet, une crise identitaire qui perdure, provoque un malaise où chaque communauté sur ses gardes, reste vigilante vis-à-vis de l´autre. Si le système autoritaire d´un certain communisme à pu neutraliser les oppositions intercommunautaires, son effondrement à laissé libre cours à la peur et à la haine historiques qui l´ont emporté sur la raison. En l´absence d´une autorité internationale, bien des exactions ont été commises, jusqu´à ce qu´enfin elle n´intervienne pour imposer une certaine discipline entre les belligérants. Il est cependant utile de signaler que l´instrument des Nations dites Unies devient une « chose » manipulable dans la mesure où un seul super Etat américain n´a guère facilité la tache du bon fonctionnement de cette organisation. Dans un rapport alarmant, rendu public, le haut fonctionnaire de cet appareil (Kofi Annan) révèle un ensemble de réalité, reconnaissant que l´horrible tragédie de Bosnie-Herzégovine aurait pu être évitée. Etait-ce par simple laxisme ou par une lenteur administrative permettant de justifier le droit d´ingérence ? Le rapport en question tente d´exposer le déroulement et les conséquences de ces événements, avec une certaine clarté mais, tout en laissant planer un doute sur le véritable rôle des décideurs. En évoquant l´ampleur du drame qui s´est déroulé à Srebrenica, le rapport s´appuie sur le communiqué de presse (voir le rapport publié 16 novembre 1995) EurOrient- Paris, février 2000.
Présenter un dossier sur les Balkans, c´est évoquer la fragilité historique de cette zone européenne qui à vécu plus d´une stratégie, impliquant même le vieux continent. La création d´un ensemble d´Etats-nations, n´a, semble-t-il, pas réglé les problèmes de la partition sur l´échiquier religieux et ethnique. En effet, une crise identitaire qui perdure, provoque un malaise où chaque communauté sur ses gardes, reste vigilante vis-à-vis de l´autre. Si le système autoritaire d´un certain communisme à pu neutraliser les oppositions intercommunautaires, son effondrement à laissé libre cours à la peur et à la haine historiques qui l´ont emporté sur la raison. En l´absence d´une autorité internationale, bien des exactions ont été commises, jusqu´à ce qu´enfin elle n´intervienne pour imposer une certaine discipline entre les belligérants. Il est cependant utile de signaler que l´instrument des Nations dites Unies devient une « chose » manipulable dans la mesure où un seul super Etat américain n´a guère facilité la tache du bon fonctionnement de cette organisation. Dans un rapport alarmant, rendu public, le haut fonctionnaire de cet appareil (Kofi Annan) révèle un ensemble de réalité, reconnaissant que l´horrible tragédie de Bosnie-Herzégovine aurait pu être évitée. Etait-ce par simple laxisme ou par une lenteur administrative permettant de justifier le droit d´ingérence ? Le rapport en question tente d´exposer le déroulement et les conséquences de ces événements, avec une certaine clarté mais, tout en laissant planer un doute sur le véritable rôle des décideurs. En évoquant l´ampleur du drame qui s´est déroulé à Srebrenica, le rapport s´appuie sur le communiqué de presse (voir le rapport publié 16 novembre 1995) EurOrient- Paris, février 2000.
Caractéristiques
Nb Page 133
Dimensions 13,5 cm x 21 cm x 1,4 cm
Couverture Broché
Date de Parution 1 janv. 1998
Editeur Auto-Editions
Poids 0.32
EAN13 9782784526310
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